Avec l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et l'électroencéphalographie, l'imagerie optique est l'une des principales modalités de l'imagerie cérébrale utilisées chez le nouveau-né.
Dans cet exposé, nous présentons le modèle mathématique classique qui sert comme problème direct dans la tomographie optique diffuse. Nous discutons ses limites dans l'analyse de l'activité cérébrale et proposons un nouveau modèle basé sur des principes d'homogénéisation. Ce dernier montre une plus grande sensibilité à la présence de perturbations dans les paramètres optiques du cerveau et sera utilisé dans la résolution du problème inverse de la tomographie optique diffuse.
Romain Duboscq, Ariane Trescases