Les dynamicien·nes qui étudient les homéomorphismes du tore de dimension deux
aimeraient en décrire tous les invariants de conjugaison. Ce rêve est irréalisable ;
mais peut-on décrire tous les invariants de conjugaison continus ?
Le concept de conjugaison faible permet de formaliser cette question.
Nous l'illustrerons dans des contextes plus simples,
avant d'expliquer les progrès récents dans le cadre des homéomorphismes du tore.
Travail en collaboration avec Alejandro Passeggi, Martin Sambarino et Maxime Wolff.